Emmitouflés sous 5 couches de vêtements, une capuche, un bonnet, une autre capuche, une écharpe remontée jusqu’au nez pour éviter d’y avoir des stalactites, nous partons à la découverte de Montréal.
Il fait très beau ! (Le ciel est bleu, mais il fait au moins « moins 8 000 C° ».) Nous choisissons de nous promener dans la vieille ville pleine de charme.
Nous découvrons la Basilique Notre-Dame, très colorée.
Le marché Bonsecours.
Nous flânons, mais pas pour longtemps. Il est vital de se réfugier en intérieur pour ne pas mourir de froid. Montréal est connue pour avoir une « ville souterraine »… Un gigantesque réseau sous terre qui permet d’arpenter la ville sans se transformer en glaçon !
Nous avons passé plus de temps dans la campagne autour de Montréal, plus précisément à Terrebonne. Nous nous sommes baladés dans les parcs, sur les rivières gelées, dans les villages typiques.
Nous nous sommes réchauffés au coin du feu en mangeant du sirop d’érable et plein d’autres spécilités québécoises… en regardant la tempête de neige passer.
Je reviendrai à Montréal
Dans un grand Bœing bleu de mer
J’ai besoin de revoir l’hiver
Et ses aurores boréales
J’ai besoin de cette lumière
Descendue droit du Labrador
Et qui fait neiger sur l’hiver
Des roses bleues, des roses d’or
Dans le silence de l’hiver
Je veux revoir ce lac étrange
Entre le crystal et le verre
Où viennent se poser des anges
Je reviendrai à Montréal
Ecouter le vent de la mer
Se briser comme un grand cheval
Sur les remparts blancs de l’hiver
Je veux revoir le long désert
Des rues qui n’en finissent pas
Qui vont jusqu’au bout de l’hiver
Sans qu’il y ait trace de pas
J’ai besoin de sentir le froid
Mourir au fond de chaque pierre
Et rejaillir au bord des toits
Comme des glaçons de bonbons clairs
Je reviendrai à Montréal
Dans un grand Bœing bleu de mer
Je reviendrai à Montréal
Me marier avec l’hiver
Me marier avec l’hiver